Nul, le titre, n'est-ce pas? J'en conviens et pour cause: c'est à l'image du film de Gad Elmaleh. Trop de promo, tue la promo, c'est pourtant connu.
En arrivant au ciné, trois salles, rien que ça, projetaient "Coco". Moi qui hésitait entre revoir Eastwood, peinarde, et découvrir Coco... Ca a au moins limité les risques de conflit de loyauté.
A se faire mousser sur tous les plateaux, il a dévoilé la quasi totalité de son film sans s'en rendre compte, et il est loin de m'avoir "éclatée" comme il le dit. En peu de temps, je me suis surprise à regarder l'heure pendant la projection. Puis à bâiller. Mauvais signe. Alors d'accord, le gag du radar et celui de la salade de fruits, c'était drôle... L'ennui, c'est que ces moments figuraient TOUS dans la bande annonce.
Y'a pas à dire, mieux vaut le voir sur scène, ce Gad. Reste devant la caméra, l'ami: Coco ou non, on ne s'improvise pas réalisateur...