Dans l'air du temps depuis fort longtemps (ça commence à faire long pour une nouveauté): on n'arrive toujours pas à tourner la page avec les séries cultes. Eh oui, il y a une dimension religieuse qui rend ces grands standards intouchables. Les critiquer, cela relève de l'hérésie. Faites donc, mais ne venez pas vous plaindre après si l'on vous menace du supplice de la roue, de l'ecartèlement ou du bûcher. Au mieux, ce sera le bagne.
En tête? Les années 80. Pas touche!
Et pourtant, à y regarder de près...
Convenons-en: Manimal n'est pas La série représentative de la décennie. Néanmoins, en termes d'effets spéciaux, je me souviens avoir adoré. Il en est de même pour V: qui peut prétendre être resté indifférent en découvrant Diana avaler une souris? Attention, c'est à la hauteur d'un choc thermique....
D'aucuns diront qu'à l'ère du numérique, la comparaison est injuste. Alors soit, mettons de côté les prouesses techniques.
Passons aux sex-symbols... Celui qui a rendue si célèbre la coupe "mullet". Celui qui poussait les femmes à ne jamais sortir sans une neigeuse dans les cheveux, des fois que... C'est qu'il en faisait, des choses, avec ces épingles à ch'veux...
Mouais...
Accrochez-vous à l'humour. Tentez...
Quoi de plus terrible que ces rires enregistrés pour nous aider à pouffer, glousser, nous esclafer? Allez, on passe aux années 90...
Le détail macabre, on le sait, réside dans l'origine de ces rires, enregistrés dans les années 50... De fortes chances que ce soient donc des gloussements de gens décédés. Sans jeu de mots, ça refroidit un chouïa... (j'y pense et puis j'oublie, disait l'autre... pas moi)
Bon, ça suffit comme ça où on continue?
Hep, vous là! Qui vous a permis? Ah, ça non! Non, non, non!!! Arrêtez immédiatement!
Je vous INTERDIS de toucher à Tom Selleck.